Il est étrange qu’un tel article puisse paraître dans le cadre d’un combat radical, c’est-à-dire qui s’attache à la racine du problème, plus précisément le libéralisme pour ce qui nous concerne ici. Mais il est important de faire un constat sur l’évolution du mode de vie qui gangrène notre quotidien.

Une habitude prise dorénavant par la majorité de la population consiste notamment à marcher tout en utilisant son téléphone, ou en utilisant des écouteurs. Les nouvelles technologies appelées à « connecter le monde » visent réellement à les déconnecter de tout contact humain, à faire quitter l’espace social pour une interface électronique où la robotisation de la société devient leur réalité et leur système de dépendance, bien qu’ils n’en soient pas conscients. Souvenez-vous il y a quelques années de la panne de réseau chez une grande marque de téléphonie et la panique qui en a suivi de ne pas pouvoir utiliser son téléphone toute une journée. Certains étaient même bloqués puisqu’ils utilisant un terminal de paiement via leur téléphone.

Notre génération collée à son téléphone et dont le dernier jouet consiste à capturer des animaux imaginaires japonais, quitte à passer pour un imbécile en pleine rue, cette génération donc a perdu tout sens du réel et de la réalité des circonstances présentes. Elle a aussi perdu tout sens des responsabilités, sérieusement, entre des peuples extra-européens qui nous sont hostiles et sont marqués par la reconnaissance de l’homme au sein du groupe et de la famille, et une société vouée à tous les genres et à tous les jeux, il n’y a plus qu’à compter les points, mais il est difficile de croire que le bobo, le hipster et toute personne liée à ces dépendances électroniques aimant jouer à 30 ou 40 ans puisse gagner, surtout si son combat consiste à dire « non au terrorisme » avec une craie. Il suffira de compter les points mais le résultat risque d’être moche et pathétique.

Ainsi, entre une génération abêtie par les médias et les « gadgets électroniques » et des hommes prêts à se sacrifier ou des hommes prêts à nous remplacer, nous aimerions avoir en opposition l’image d’une société peuplée d’hommes fidèles à nos pères et grands-pères.

Ces nouvelles dépendances électroniques entraînent un changement radical de l’appréhension des contacts humains et des réalisations qu’elles engendrent naturellement : relations sociales, familiales et/ou privées, rapport au travail, rapport à la communauté.

De la même manière, la perte croissante de l’utilisation de nos jambes par des jouets avec roues électriques ou autres planches à feignants doit nous rappeler la raison pour laquelle nous disposons de ces jambes. Le plus drôle dans l’histoire réside dans le fait que pour une partie de ces personnes qui ne marchent plus, elles s’inscrivent aussi en salle de sport ou de gymnastique afin de perdre du poids…

Enfin, ce changement peut être observé aussi à travers le prisme du changement de peuple. Le changement de peuple induit un changement de caractéristiques dans lesdits vêtements, notamment de taille. Outre la polémique du burkini et de la loi du marché où Marks & Spencer en fait la vente au Royaume-Uni, il suffit de voir quelles parts de marché ces minorités (majorités) peuvent avoir et comment les cartels exploitent ce filon.

Au final, le changement d’habitude de consommation montre un changement extrême à l’image de notre peuple, lobotomisé et accro aux jeux et jouets, prêt à être remplacé des peuples virils et en vogue auprès des hérauts du libéralisme.

La solution est simple, choisissez la frugalité et limitez au maximum ces dépendances coûteuses et inutiles. Dites-vous bien que chasser des animaux avec le téléphone ne vous aidera en rien face à la crise migratoire et aux conséquences criminelles qui lui sont liées (vols, viols etc.) en sachant très bien désormais que peu de gens viendront à votre secours. Pourquoi aller au casse-pipe quand on peut filmer la scène…

Finalement, il reste peu de solutions, mais ce sont les plus intéressantes : faites du sport, de combat de préférence, enrichissez-vous avec vos amis, avec des livres et revues, lisez les médias alternatifs, et regardez près de chez vous si des conférences de formation politique sont présentes car le savoir est aussi une arme. Mais arrêtez la télévision et les jouets !